Inspiré d’un modèle existant, ce milan plane infatigablement dans les airs, à la recherche de petites proies au sol.
Il n’est pas mu par les vents ascendants mais par un ressort à couple constant qui lui transmet l’énergie via une courroie en cuir, comme sur les anciennes machines à coudre. C’est un rapace, ses rotations sont aléatoires et silencieuses. Ce milan est capable de planer cinq heures durant.
J’ai préféré le contreplaqué de bouleau au bois massif pour sa tenue de planéité dans le temps. Huit aimants s’attirent et se repoussent pour gérer l’aléatoire avec deux petits cliquets. Pas moins de onze roulements aident le milan pour son endurance